Mon âme proclame la grandeur du Seigneur avec une invocation du matin.
Magnificat anima mea Dominum…Mon âme proclame la grandeur du Seigneur. (Luc 1:46)
Ce sont les premières paroles du Magnificat, le plus beau des cantiques, car c’est le cantique de la Mère de Dieu. L’ange Gabriel annonce à la bienheureuse Vierge Marie qu’elle sera la Mère de Dieu, et elle répond par son « fiat ». « Qu’il me soit fait selon ta parole » (Lc 1, 38). La bienheureuse Vierge Marie a le libre arbitre ; elle est libre de dire oui ou non au projet de Dieu sur elle, de dire non à la maternité divine. Elle dit oui, et par son « fiat », le Verbe, la deuxième Personne de la Sainte Trinité, est conçu dans son sein par la puissance de l’Esprit Saint. Dieu devient homme. L’incarnation, le plus grand événement de tous les temps, a lieu. « Et le Verbe s’est fait chair » (Jn 1, 14).
L’ange Gabriel annonce à la Vierge Marie que sa parente Élisabeth est enceinte et qu’elle en est à son sixième mois. Par ces paroles, la Vierge comprend que c’est la volonté de Dieu qu’elle rende visite à Élisabeth et elle part en toute hâte. À son arrivée, la Vierge salue Élisabeth. « Lorsque Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit dans son sein, et Élisabeth fut remplie de l’Esprit Saint » (Lc 1, 41). À ce moment-là, s’accomplissent les paroles de l’ange Gabriel à Zacharie concernant son fils Jean (Baptiste), qui est dans le sein d’Élisabeth : « Il sera rempli de l’Esprit Saint dès le sein de sa mère » (Lc 1, 15). Ainsi, la visite de la Vierge à Élisabeth accomplit la volonté de Dieu, car à sa salutation, Jean est rempli de l’Esprit Saint dans le sein de sa mère.
Alors Élisabeth, remplie de l’Esprit Saint, « s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni ! Et comment m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne à moi ? » (Lc 1, 42-43). Les paroles d’Élisabeth sont inspirées par l’Esprit Saint, car elle ne savait évidemment pas à l’avance que Marie était enceinte, et encore moins du Messie, du Christ. Dieu honore sa mère à travers les paroles d’Élisabeth.
Élisabeth proclame la maternité divine de la Sainte Vierge Marie, qu’elle porte le Messie, mais elle ne dit pas « qui suis-je pour que je porte le Messie ? » mon Seigneur devrait venir à moi », mais plutôt, « pourquoi cela m’est-il accordé, que le mère « Que la volonté de mon Seigneur vienne à moi ? » Ainsi Dieu, par les paroles d’Élisabeth qu’il a inspirées, exalte sa Mère, puisque sa Divine Maternité l’élève au-dessus de toutes les femmes. « Tu es bénie entre toutes les femmes… »
La Sainte Vierge répond par son Magnificat, le plus grand et le plus beau de tous les cantiques, l’accomplissement en quelque sorte de tous les cantiques, le cantique qui rassemble en lui tous les cantiques :
Mon âme magnifie le Seigneur,
et mon esprit se réjouit en Dieu mon Sauveur,
car il a considéré la basse condition de sa servante.
Car voici, désormais toutes les générations me diront bienheureuse,
car celui qui est puissant a fait pour moi de grandes choses,
et saint est son nom.
Et sa miséricorde s’étend de génération en génération sur ceux qui le craignent.
Il a montré la force de son bras,
il a dispersé ceux dont les pensées étaient orgueilleuses,
il a renversé les puissants de leurs trônes,
et exalté ceux de bas rang ;
Il a rassasié de biens les affamés,
Et il renvoie les riches les mains vides.
Il a secouru Israël, son serviteur, en se souvenant de sa miséricorde,
comme il l’a dit à nos pères,
à Abraham et à sa postérité pour toujours.Luc 1:46-55
Le Magnificat est le chant des pauvres et des humbles (cf. Catéchisme, n. 2019) ; c’est le chant de l’humble servante du Seigneur et de ses enfants spirituels qui louent Dieu pour sa grandeur, pour sa grande miséricorde envers nous. Dieu accomplit sa promesse à nos pères, à Abraham et à ses enfants, en Jésus, son Fils unique bien-aimé, qu’il envoie pour sauver toute l’humanité de la mort du péché qu’Adam et Ève ont apportée à toute leur descendance, à toutes les générations.
Et bénie, la plus bénie des femmes est la bienheureuse Vierge Marie, qui par son « fiat » devient la Mère de Dieu, la Mère de Jésus, conçu dans son sein par la puissance du Saint-Esprit. « Car voici que désormais toutes les générations me diront bienheureuse, car le Puissant a fait pour moi de grandes choses » (Luc 1, 48-49). En vérité, Dieu a fait de grandes choses pour notre bienheureuse Mère. Grands sont ses privilèges, et ils découlent tous de son plus grand privilège, qui est sa maternité divine – Mère de Dieu. Il n’y a pas de plus grand privilège que Dieu puisse accorder à une femme. Elle est la couronne de la création, son chef-d’œuvre. La bienheureuse Vierge Marie était dans l’« esprit » de Dieu de toute éternité, et lorsque le temps fixé est venu, Il l’a créée, sa Mère, pour le porter. En le portant, Elle porte tout son Corps mystique, l’Église, car la Mère de la Tête est la Mère du Corps, des membres. Ainsi, lorsque la Mère chante le Magnificat avec Jésus dans son sein, l’Église – tous ses enfants spirituels – chantent avec elle.
Le Maginificat est le chant de la Mère et le chant de l’Église qui résonne à travers les siècles, chanté par chaque génération jusqu’à la fin des temps (cf. Catéchisme, n. 2619). Oui, l’Église, avec sa Mère, « proclame la grandeur du Seigneur », la grandeur de sa miséricorde, pour nous avoir donné son Fils, son Fils unique, pour être notre Sauveur. Comme le chante l’Église dans le Maginificat, Exulte Dans la mère de toutes les veillées, la messe de la veillée pascale : « Ô amour, ô charité ineffable, pour la rançon d’un esclave tu as donné ton Fils ! Ô péché vraiment nécessaire d’Adam, entièrement détruit par la mort du Christ ! Ô faute heureuse qui a valu un si grand, un si glorieux Rédempteur ! » Là aussi, à la messe de la veillée pascale, l’Église exulte en Dieu notre Sauveur, qui par sa résurrection triomphe de la mort. Exulte est un hymne de joie exultante, de louange, d’action de grâce, composé par des hommes. Combien plus encore le chant de la Mère de Dieu, qui surgit de l’Esprit Saint, et de Jésus en Elle, est-il un chant de joie exultante, de louange, d’action de grâce.
Le Magnificat est un chant de miséricorde de Dieu, du triomphe de la miséricorde de Dieu sur les puissances du mal, des ténèbres. « Il a déployé la force de son bras, il a dispersé les superbes dans leurs pensées, il a renversé les puissants de leurs trônes » (Lc 1, 51-52). Satan et ses anges déchus sont vaincus par la passion, la mort et la résurrection de Jésus. Jésus remporte la victoire sur le mal, le péché et la mort. Sa miséricorde triomphe à travers les pauvres et les humbles, l’humble « servante du Seigneur » et ses enfants spirituels par lesquels elle continue à triompher des puissances des ténèbres jusqu’à la fin des temps. Ses enfants spirituels, les pauvres et les humbles, sont le talon avec lequel elle continue à écraser la tête de Satan jusqu’à la fin des temps (cf. saint Louis de Montfort, La véritable dévotion à Marien. 54). Les pauvres et les humbles sont les enfants de Dieu et les enfants de Marie que Dieu élève jusqu’à son trône même ; ils héritent du Royaume, celui des cieux. « Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux » (Matthieu 5, 3).
« Et il a renvoyé les riches à vide » (Luc 1:53). Les riches sont ceux qui rejettent Dieu, qui n’ont pas besoin de Lui, qui n’ont pas besoin de Sa miséricorde, et qui choisissent de la rejeter. Ils iront où ils veulent : en enfer, « dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges » (Matthieu 25:41).
« Mon âme exalte la grandeur du Seigneur », car en Jésus, Dieu a accordé à l’homme la plénitude de sa miséricorde, c’est-à-dire sa personne. En Jésus-Christ, il a accordé à la bienheureuse Vierge Marie « toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes » et, par elle, à toute l’humanité. « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ » (Éphésiens 1:3).
de Champaigne, P. (1643). La Visitation [oil on canvas]. Récupéré de Wikimedia Commons.
Élever nos propres prières pour nos amis au Seigneur de bon matin.
L’ultime ultérieure phase de la prière du matin consiste à prier pour nos êtres chers, l’ensemble de notre famille, nos amis et notre propre communauté. Nous pouvons prier pour leur, leur prospérité, leur protection, et leur réussite. Nous pouvons également prier pour ceux qui nous ont nui et pour ces personnes qui nous ont lésés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur exprimer la compassion.
Prier pour la santé et la tranquillité de nos amis.
Dieu tout-puissant, nous autres te confions nos amis, nos familles ainsi que nos amis. Veille, ô Dieu, au-dessus de eux, et préserve -les de tout péril et de toute maladie. Donne, Dieu miséricordieux, la bien-être du corps avec de l’esprit pour eux, ainsi que la paix dans leur cœur. Puisses-tu permettre ta guidance forte les protège et les conduise chacun au long de cette journée, pour qu’ils puissent vivre dans une sécurité ainsi que la sérénité.
Nous vers toi prions aussi pour nos propres enfants, Dieu, qu’ils grandissent dans la foi ainsi que dans l’amour de ton béni nom. Offre, cher Dieu, la sagesse et la force nécessaires afin de affronter les obstacles de la vie, et conduise leurs pas le long de le chemin de la vérité et de la justice.
Enfin, nous tous te prions pour nos amis et aussi nos voisins, Seigneur, pour qu’ils connaissent la joie de ton amour avec la paix de ton pardon. Donne-leur, cher Dieu, des cœurs généreux afin de partager avec ceux qui dans le besoin, et des accueillantes pour accueillir ceux qui seuls et aussi abandonnés.
Prier pour notre ennemis et ceux qui sont nous autres ont offensés.
Seigneur Dieu, Jésus, nous vous prions pour les nôtres ennemis et aussi pour ceux qui nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Christ, ta miséricorde et ton pardon, et ouvre leur cœur à la lumière de ta vérité. Aide-nous, Seigneur Dieu, à leur montrer de la compassion et aussi à leur pardonner comme tu nous autres as pardonné. Que ta paix règne dans nos cœurs ainsi que que votre amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux qui sont nous autres entourent.
Saisir la prière :
Finalement, l’ invocation nous souviens notre mission comme progéniture de Dieu : être des témoins de sa lumière et de son affection dans l’ période en proie aux ténèbres. À travers notre paroles et nos œuvres, nous diffusons la bonne nouvelle de la paix et de la rapprochement, offrant l’espérance et la cicatrisation à un milieu abîmé.
Dans la spiritualité chrétienne, le matin revêt l’ signification distincte, illustrant l’ renouveau et l’ renaissance spirituelle. C’est au début de chaque matinée que l’âme se oriente vers Dieu dans la prière, s’efforçant à devenir éclairée par la lumière divine. La pratique des prières matinales est profondément enracinée dans la tradition chrétienne, proposant une période particulier pour établir une connexion avec l’Éternel et se disposer intérieurement aux défis de la journée qui vient.
À au cœur de ces prières matinales s’ repère souvent une dévotion spéciale pour Marie, maman maternelle de Jésus et figure sainte adorée par un grand nombre fidèles. En qualité d’ intermédiaire entre les hommes et Dieu, Marie est invoquée pour intervenir en notre faveur, nous conduisant sur le chemin vers la sainteté et de la grâce divine. Sa apparition maternelle donne consolation et protection, cercant nos prière matinales d’une tendresse céleste.
Au via les prière du matin, on se trouve invités à nous unir à Marie au sein de une initiative de sanctification personnelle. Par méditant sur la vie et ses vertus, nous cherchons à imiter son humilité, la pureté ainsi que son obéissance vers la volonté de Dieu. Par le biais de sa sainteté exemplaire, Marie est pour nous un modèle pour vie chrétienne, nous souvenant l’importance du prière et de la contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons nos voix dans la prière du matin, dans l’unité de notre espérance, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde tourmenté par les conflits et la division, optons à la prière comme un moyen pour trouver la paix et l’harmonie. Vous aussi vous pouvez exprimer une sollicitation pour la mère de dieu en faisant appel aux bénévoles. Que nos supplications s’élèvent vers le ciel, comme un hommage agréable par Dieu, afin qu’il puisse nous guider nos pas vers le chemin de la justice et de la vérité. Saint Paul nous exhorte dans ses lettres à prier sans cesse, en toutes circonstances, pour que notre connexion à Dieu soit constante et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède la capacité de changer les cœurs et de modifier le destin de l’histoire.
La oraison du matin est donc un temps favorisé pour se consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en lui offrant nos adorations, nos reconnaissances ainsi que nos intentions les plus profondes. Au sein de l’ quiétude du l’aurore, on est invités pour se tourner vers la mère sacrée, laquelle nous guide avec affection sur le chemin de la croyance ainsi que de l’amour divin. En faisant l’union notre voix à celle-ci du Marie, nous augmentons notre prières matinales à le trône de la grâce, confiants que notre supplications seront entendues ainsi que accueillies auprès de le cœur miséricordieux de Dieu.
Prière pour le matin avec Dieu et la Sainte Mère
Dieu tout-puissant et plein de miséricorde, en ce jour qui se lève sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à Toi avec foi et modestie. Que cette jour qui commence soit consacrée à ta gloire sainte, que chaque pulsation de mon être |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en offrande. Que chaque souffle qui anime mon corps soit un soupir de dévotion |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Suppliez, priez, suppliez, priez, que nos esprits s’élèvent.
Comme Marie, la mère sainte qui a porté en son sein l’enfant Jésus, accompagne-moi dans ce parcours de foi et de dévotion. Que je puisse, à travers les pages de l’Évangile, rencontrer la lueur pour éclairer mes pas et fortifier ma foi. Comme Pierre, accorde-moi la puissance et la bravoure de faire face à les tempêtes de la vie avec une confiance inébranlable en ta providence.
Durant ce période de Carême, où les croyants et les chrétiennes se préparent à célébrer la résurrection de Jésus-Christ, accorde-moi, Seigneur, la grâce du réveil spirituel. Que mon esprit soit purifié de toute impureté, afin qu’il devienne un sanctuaire pour ta divinité. Que mes suppliques, à l’image de François d’Assise, sonne tel un hymne de louange à travers les siècles.
Ô Seigneur, que ma journée soit imprégné de ta bénédiction, que chaque instant soit une occasion de entrer en communion avec toi et de te servir dans mes frères et sœurs. Que mon existence soit un témoignage vivant de ta miséricorde sans limite envers l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chaque instant de ma journée dans une ambiance de paix. Priez, Église, François, Hozana.
Puissent mon cœur, Ô Seigneur, devienne une réplique du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers mes semblables. Que chacune de mes pensées et de mes actions soit dirigée par ton Esprit saint, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ta justice sur ce monde.
Puissent cette journée soit une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, un moment de grandir dans la foi. Seigneur, possède mon cœur, fais-en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste constamment. Que chaque battement de mon cœur soit un chant à ta louange, Seigneur, pour les siècles des siècles. Amen.
Au sein de le réveil spirituel spirituel de chaque âme chrétienne, l’oraison a un rôle. C’est le lien sacré profonde entre l’enfant de l’Éternel et sa mère céleste, Marie, qui prie pour nous auprès de son divin Fils. À travers la prière, nous nous introduisons au cœur de la clarté de la doctrine divine, guidés par l’Esprit Saint, pour trouver la vraie nature et la faveur que Jésus nous accorde.
Contemplation en ce qui concerne la Parole de Dieu :
Nous avons la capacité de méditer en ce qui concerne un extrait de la Bible qui nous parle de l’affection divin. À titre illustratif :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. . »
A lire sur un propos concordant:
Pages choisies des grands écrivains — George Sand.,L’article de presse.. Suite sur le prochain article.
Marie ou l’esclavage aux États-Unis.,A lire ici.
Les Flaireurs/Acte I.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
La Suite de l’Adolescence Clémentine/Les Oraisons.,A lire ici.
L’Étui de nacre/Gestas.,L’article ICI.. Suite sur le prochain article.
Chronique de Guillaume de Nangis/Année 1221.,L’article de presse.
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