Le martyre est eucharistique avec une prière matinale.
La vie chrétienne est une vie de grâce. Il nous entraîne au-delà des limites de notre nature humaine et dans le surnaturel en partageant la vie trinitaire de Dieu. La seule façon pour nous d’atteindre une telle vie est avec l’aide de Dieu, par sa grâce. À eux seuls, nos efforts sont inutiles. Nous ne pouvons pas vaincre le péché sans la grâce de Dieu ; nous ne pouvons pas obtenir le salut sans la grâce de Dieu. Si la grâce est si cruciale, comment l’obtenons-nous ?
La grâce de Dieu nous parvient à travers le Christ, qui l’a méritée pour nous. Par son sacrifice sur la Croix, le Christ a exaucé nos péchés et a mérité la grâce infinie qu’il peut nous accorder individuellement lorsque nous sommes unis à lui, lorsque nous devenons membres de son Corps en entrant dans l’Église par le baptême.
Cela nous amène aux sacrements. Les sept sacrements que le Christ a institués sont des outils par lesquels il confère les effets de sa passion. En d’autres termes, ce sont les manières particulières par lesquelles Christ nous accorde sa grâce. Ainsi, les sacrements sont les moyens concrets par lesquels nous participons à la vie du Christ et à son sacrifice sur la croix.
Le baptême, puisqu’il est le sacrement qui nous unit initialement au Christ et fait de nous membres de son Corps l’Église, est le sacrement le plus nécessaire. Pourtant c’est l’Eucharistie, le même sacrifice sur la croix, concernant-présenté d’une manière non sanglante, qui méritait pour nous salut et grâce, tel est le le plus grand sacrement. L’Eucharistie a également une primauté secondaire : nous pouvons la recevoir souvent. Nous sommes obligés de participer à la messe au moins une fois par semaine, mais nous pouvons le faire même quotidiennement (pas seulement une fois dans notre vie, comme pour le baptême).
Assister à la messe n’est pas comme assister à un concert ou à une conférence. À la messe, nous ne sommes pas de simples spectateurs. Au lieu de cela, nous participer dans le sacrifice offert.
Nous procédons de deux manières. Premièrement, nous donnons notre consentement au sacrifice du Christ. Comme Marie debout au pied de la croix, nous devons consentir au don du Christ au Père. Marie se tenait au Calvaire et approuvait ce que faisait son Fils. Nous nous agenouillons à l’église et faisons de même : le moment précis où nous donnons notre consentement est au « Grand Amen ». A ce moment, le prêtre brandit le Corps et le Sang du Christ et les offre à Dieu en priant : « Par Lui, avec Lui et en Lui, ô Dieu Père tout-puissant, dans l’unité du Saint-Esprit, toute gloire et tout honneur. est à Toi, pour toujours et à jamais. » Nous répondons « Amen » pour donner notre approbation de glorifier Dieu par l’unique sacrifice du Christ représenté pendant la messe. Le « Lui » avec lequel nous prions est le Christ.
La deuxième façon de participer au sacrifice de la messe est de nous unir au Christ dans son offrande à Dieu. Nous n’approuvons pas simplement que Christ s’offre à Dieu, mais nous nous unissons au sacrifice de Christ. Nous joignons nous-mêmes, nos vies, toutes les bonnes choses que nous faisons et les mauvaises choses que nous endurons au sacrifice de la Croix et les offrons ainsi à Dieu par, avec et en Christ. Cela se produit également au moment du « Grand Amen ».
À ce stade, une énorme question se pose. Pourquoi le Christ a-t-il institué les sacrements ? Autrement dit, pourquoi devons-nous recevoir la grâce par les sacrements et pas simplement par la prière privée ? Pourquoi devons-nous consentir au sacrifice du Christ et nous y unir rituellement à la messe plutôt qu’à la maison lorsque nous lisons la Bible ? Cela n’aurait-il pas été plus simple ? Pourquoi s’embêter avec ces cérémonies et liturgies ?
La réponse simple, et plutôt grossière, est que c’est parce que nous sommes des animaux. Maintenant, nous ne sommes pas simplement des animaux, mais nous sommes des animaux – des animaux rationnels. Nous avons des corps. Nous ne sommes pas seulement des esprits, comme les anges.
Nos corps sont essentiels à notre humanité. En raison de notre nature corporelle, nous apprenons par nos sens. De plus, nous nous exprimons corporellement – c’est un élément central du discours de Jean-Paul II. Théologie du corpsque « le corps révèle la personne ». Ainsi, il est naturel que les humains utilisent des rituels et des cérémonies, utilisant le tangible pour exprimer l’intangible. Ainsi, lorsque nous adorons Dieu, nous devons le faire de manière rituelle, liturgique, dans laquelle les signes physiques expriment les réalités spirituelles qui se déroulent.
Un autre exemple de l’idée selon laquelle puisque nous sommes des créatures corporelles, nous devons avoir des cérémonies est le « mariage » laïque contemporain. Même dans une société qui autorise le divorce à tout moment et pour quelque raison que ce soit (une société qui ne valorise pas le mariage et ne le prend pas au sérieux), les gens ont toujours des cérémonies extrêmement luxueuses pour se marier. Ces manifestations indiquent directement l’importance du rituel dans la société humaine, même en dehors de la liturgie sacramentelle.
Ainsi, lorsque nous participons à la messe, nous participons liturgiquement à la mort du Christ au Calvaire en consentant à son sacrifice et en nous unissant à lui.
Le martyre est une union beaucoup plus littérale avec le sacrifice du Christ. Alors que nous ne mourons pas à la messe lorsque nous nous unissons au Christ, les martyrs meurent en réalité pour le Christ et avec le Christ. Leur participation à son sacrifice est bien plus viscérale. Ainsi, les chrétiens ont toujours reconnu que les martyrs entrent immédiatement au ciel. (Le Purgatoire ne leur est pas nécessaire.)
En outre, l’Église a toujours considéré que les martyrs méritaient la grâce pour nous. Leurs morts, comme la mort sacrificielle du Christ, ne sont pas seulement méritoires pour eux-mêmes mais aussi pour nous, ce qui signifie que nous bénéficions spirituellement du sacrifice des martyrs.
Le martyre est eucharistique à plusieurs égards. C’est d’abord une grande participation au sacrifice du Christ sur la Croix, comme la messe.
Deuxièmement, Vatican II nous enseigne avec éloquence que la messe est la source et le sommet de la vie chrétienne. Elle en est la source puisque nous en recevons la grâce de bien vivre, et elle en est le sommet en ce que, comme nous l’avons vu, c’est à la messe que nous unissons toute notre vie au Christ. Le martyre a une fonction similaire au sein de l’Église. Comme nous l’avons mentionné, le sacrifice des martyrs profite à toute l’Église avec la grâce qu’elle mérite (servant ainsi de « source » de grâce). De plus, les martyrs s’unissent entièrement au Christ, corps et âme, lorsqu’ils accomplissent leur sacrifice suprême (atteindre le « sommet » de l’union avec Notre-Seigneur). Les martyrs sont donc considérés comme des saints particulièrement grands dans les rangs célestes.
Les premiers saints étaient les martyrs. Il a fallu plusieurs centaines d’années avant que l’Église reconnaisse un saint autre qu’un martyr (et saint Jean l’Apôtre). Aujourd’hui encore, le martyre suffit à lui seul pour être béatifié. De plus, les martyrs font avancer l’Église, comme le dit l’ancienne maxime : « le sang des martyrs est la semence de l’Église ». Le pape portait des chaussures rouges, en partie pour signifier le sang des martyrs sur lequel l’Église a prospéré.
Troisièmement, il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie. Puisque nous sommes des créatures incarnées, le plus grand cadeau que nous puissions faire à autrui est notre vie même. Mourir pour quelqu’un est le plus grand acte d’amour que nous puissions faire. Pourtant, très peu d’entre nous meurent pour ceux qu’ils aiment. Au lieu de cela, nous consacrons notre vie à leur bien et l’exprimons rituellement (lors des mariages, de la messe, etc.). Les martyrs donnent vraiment leur vie. Ils peuvent exprimer directement et corporellement leur amour pour Dieu.
Quatrièmement, l’Eucharistie nous prépare au martyre. Être martyr demande une grande sainteté et un zèle pour donner totalement sa vie à et pour Dieu. L’Eucharistie est le principal moyen par lequel nous grandissons dans la sainteté, dans la charité, et parvenons à nous offrir systématiquement nous-mêmes et toute notre vie à Dieu, pour sa gloire et non la nôtre. Ainsi, la meilleure façon de se préparer au martyre n’est pas de faire des exercices et un entraînement militaire pour endurer la torture, mais plutôt de participer avec dévotion à la messe.
Dans un monde où le martyre ne diminue pas mais augmente, et où la persécution générale contre le christianisme augmente dans le monde occidental, nous devons nous préparer au martyre comme le faisaient les premiers chrétiens. L’un des signes que l’Église en Amérique n’est pas prête à faire face à la persécution est le fait qu’un si grand nombre de personnes ne croient pas en l’Eucharistie ou ne lui accordent pas une juste valeur.
Tournons-nous vers les martyrs, en particulier ceux qui sont morts pour la messe et l’Eucharistie, pour renforcer notre foi et notre dévotion au plus grand sacrement.
Note de l’auteur : Cet article a été inspiré par le Père. Le livre de Francis Sofie, Martyrs de l’Eucharistiedisponible chez Tan Books. Ce livre rend un grand service à l’Église en racontant les histoires de saints martyrisés pour la messe et l’Eucharistie. Cela nous montre que, aussi grand et noble que soit le martyre, l’Eucharistie est encore plus grande : c’est pour cela que de nombreux martyrs sont morts.
Thirion, E. (19e siècle). Triomphe de la foi : les martyrs chrétiens au temps de Néron [painting]. Récupéré de Wikimedia Commons.
Élever nos prières pour nos proches au Seigneur de bon matin.
La dernière phase de la prière du matin consiste à prier pour nos proches amis, notre propre famille, nos collègues et nos communauté. Nous pouvons prier pour leur propre, leur bien-être, leur tranquillité, et leur fortune. Nous pouvons également prier pour ceux qui nous ont nui et pour celles qui nous ont heurtés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur témoigner de la compassion.
Implorer pour la condition physique et la protection de nos amis.
Dieu tout-puissant, nous tous te confions nos proches, nos familles et nos connaissances. Garde, ô Dieu, au-dessus de eux, avec préserve -les de tout péril et de toute maladie. Offre, Seigneur, une santé du corps avec de l’esprit pour eux, et la paix au sein de leur cœur. Puisses-tu permettre ta protection omnipotente les veille ainsi que les individus conduise chacun au long de cette journée, pour qu’il puissent jouissent dans une sécurité et la paix.
Nous autres vers toi prions aussi pour nos propres enfants, Seigneur tout-puissant, pour qu’ils grandissent dans la foi avec dans l’amour de ton saint nom. Donne, ô Dieu, une sagesse avec la vigueur nécessaires afin de surmonter les obstacles de la vie, et conduise leurs pas le long de le chemin de la vérité ainsi que de la justice.
Enfin, nous tous te prions pour nos amis et aussi nos voisins, Seigneur, afin qu’ils découvrent la joie de ton amour ainsi que la tranquillité de ton pardon. Accorde-leur, cher Dieu, des cœurs bienveillants en vue de partager avec ceux qui dans le besoin, ainsi que des ouvertes afin de accueillir ceux qui sont seuls ainsi que abandonnés.
Prier pour notre ennemis et ceux qui sont nous ont offensés.
Seigneur, Jésus, nous t’ prions pour les nôtres ennemis et aussi pour ceux-ci qui nous ont offensés. Accorde-leur, ô Jésus, votre miséricorde ainsi que votre pardon, ainsi que ouvre leur cœur à la lumière de ta vérité. Aide-nous, Ô Seigneur, à leur montrer de la compassion ainsi que à leur pardonner comme tu nous-mêmes as pardonné. Que ta paix règne dans notre cœurs et aussi que ton amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux qui nous entourent.
Appréhender l’ prière :
Finalement, la prière nous reconnaît notre mission tel que progéniture de l’Éternel : exister des témoins de sa lumière et de son affection dans l’ époque affectée aux ténèbres. À travers notre paroles et nos actes, nous répandons le message de l’ sérénité et de la conciliation, offrant l’espérance et la réparation à un milieu endommagé.
Dans l’ spiritualité chrétienne, le matin revêt une valeur spéciale, illustrant le renouvellement et l’ reconstruction intérieure. C’est au début de chaque journée que le cœur se dirige vers Dieu dans la prière, s’efforçant à être éclairée par la lumière divine. La pratique des prières matinales s’avère profondément enracinée dans la tradition chrétienne, fournissant une période particulier pour établir une connexion avec le Seigneur et se disposer mentalement aux défis de la journée qui vient.
En au sein de ces prières matinales se observe souvent une dévotion spéciale à l’égard de Marie, la mère de Jésus et figure sainte adorée par de nombreux fidèles. En qualité de intermédiaire au milieu de les hommes et Dieu, Marie reste sollicitée afin de intervenir pour nous, nous orientant dans le sentier de la sainteté ainsi que de la grâce divine. Son présentation maternelle offre apaisement ainsi que protection, cercant nos propres oraisons matinales avec une tendresse céleste.
Au via les oraisons du matin, on est appelés à se unir à Marie dans une initiative de béatification personnelle. Par méditant sur sa vie et ses vertus, nous recherchons pour imiter son humilité, sa pureté et son obéissance vers la volonté de Dieu. Par le biais de la sainteté exemplaire, Marie devient pour nous un modèle de vie chrétienne, nous souvenant l’importance de la prière ainsi que du contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons nos voix dans la prière matinale, dans l’unité de notre confiance, en nous tournant vers Marie, la mère de Jésus. Dans notre monde troublé par la guerre et la discorde, optons à la prière comme un moyen pour retrouver la sérénité et la réconciliation. Vous aussi vous pouvez envoyer des vœux pour la mère de dieu sur cette page. Que nos prières montent vers le ciel, comme une offrande reçu avec faveur par Dieu, pour qu’il puisse nous guider nos pas vers le chemin de la vérité et de la justice. Saint Paul nous dans ses lettres à prier sans cesse, quelle que soit la situation, afin que notre communion à Dieu reste constante et ardente. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède le pouvoir de transformer nos cœurs et de modifier le cours de l’histoire.
La récitation du matin est ainsi un instant avantagé afin de nous consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en présentant nos acclamations, nos reconnaissances et nos intentions les plus profondes. À travers l’ quiétude du l’aurore, on est invités à tourner vers cette mère divine, laquelle nous guide avec affection au sujet de le chemin de la foi ainsi que du sentiment amoureux divin. En associant notre voix à cette dernière de Marie, on haussant nos prières matinales vers le trône de la grâce, sûrs que notre supplications seront entendues ainsi que accueillies par du cœur miséricordieux de Dieu.
Prière pour le matin avec Dieu et la Vierge Marie
Ô Tout-Puissant et Miséricordieux Seigneur, en ce jour qui se lève sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à toi avec foi et modestie. Que cette nouvelle journée qui se profile soit consacrée à ton saint nom, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en sacrifice. Que chaque respiration qui anime mon être soit un souffle de prière |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Suppliez, priez, suppliez, que nos âmes se confient, suppliez.
Tel Marie, la mère sainte qui a porté en son sein l’enfant Jésus, conduis-moi dans ce parcours de foi et de dévotion. Que je puisse, par le biais de les pages de l’Évangile, rencontrer la lumière pour éclairer mes pas et consolider ma foi. Tel Pierre, donne-moi la force et l’audace de surmonter les épreuves de ce monde avec une confiance absolue en ta providence.
Dans ce temps de Carême, où les chrétiens et les chrétiennes se préparent à célébrer la résurrection de ton fils bien-aimé, donne-moi, Seigneur, la grâce du réveil spirituel. Que mon âme soit purifié de toute souillure, afin qu’il devienne un lieu sacré où tu résides. Que mes prières, inspirée par l’exemple de François d’Assise, retentisse comme une mélodie de louanges à travers les siècles.
Seigneur, que chaque jour soit imprégné de ton amour, que tous les moments soit une occasion de te rencontrer et de te servir dans mes semblables. Que mon chemin soit un témoignage vivant de ta tendresse infinie pour l’humanité. Puissent les supplications de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant toute ma journée dans une douce tranquillité. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Ô Seigneur, devienne une manifestation du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers mes semblables. Que chacune de mes pensées et de mes actions soit dirigée par l’Esprit divin, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ton règne de justice sur la terre.
Puissent cette journée soit une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une occasion de grandir dans la foi. Seigneur, prends possession de mon cœur, transforme-le en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste en tout temps. Que chaque battement de mon cœur se transforme en un chant en ton honneur, Seigneur, pour l’éternité. Amen.
Au sein de le réveil religieux de toute âme chrétienne, la prière joue. Celle-ci constitue le lien intime entre l’enfant divin et sa mère céleste, Marie, qui supplie pour le compte de nous auprès de son sacré Fils. À travers l’acte de prière, nous entrons au sein de la lumière de l’Évangile, dirigés avec l’Esprit divin, dans le but de découvrir la vérité et la bénédiction que Jésus nous accorde.
Réflexion de la divine Parole de Dieu :
Nous avons la capacité de ruminer au sujet de une portion de la Bible qui nous parle de l’amour de Dieu. À titre illustratif :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
»
L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est point envieux; l’amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; il supporte tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout.
L’amour ne périt jamais; mais, les prophéties, elles seront abolies; les langues, elles cesseront; la connaissance, elle sera abolie. »
A lire sur un thème analogue:
Rayons perdus (1869)/Prière.,L’article ICI.
Litanies de la Sainte-Vierge.,L’article ICI.. Suite sur le prochain article.
Les Flaireurs/Acte II.,Le dossier.
Le Fléau (Verhaeren – Les Campagnes hallucinées).,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
L’Encyclopédie/1re édition/AVE MARIA.,Article complet.
Dictionnaire de théologie catholique/IMMACULÉE CONCEPTION IV. Dans l’Eglise latine après le concile d’Ephèse. I.D’Ephèse au milieu du XIè siècle.,A lire ici.
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