La splendeur des processions de Santacruzan – Le LaSallien afin de adresser ses prières à la mère de dieu Marie.
Le ciel nocturne d’encre est une fois de plus accueilli par l’agitation des festivités animées ci-dessous. Dans une tradition qui remonte à 91 ans, des dizaines de jeunes filles caracolent dans une rue en une seule procession, les deux côtés étant parsemés d’arrangements floraux. Les visages frais brillent presque d’or, rendus d’autant plus luminescents par le décor ; chaque fille est dorée dans des robes dignes des reines et encadrée par de magnifiques Arkos ou des chariots. Si l’on s’arrêtait dans n’importe quel barangay aux Philippines, à la fin du mois de mai, ils venaient trouver le couronnement de leur Flores de Mayo-le grand Santacruzán.
Dans celui-ci, chacun Reyna représente une certaine vertu ou un événement charnière dans l’histoire catholique. Commençant dès la conception biblique de l’humanité, la procession culmine au moment même qui lui a donné son nom : la reine Hélène de Constantinople, appelée localement Reyna Elena, trouvant prétendument la vraie croix sur laquelle Jésus-Christ a été crucifié.
Mais chaque année qui passe, les barangays tenter de surpasser leurs communautés voisines avec des gadgets pour revitaliser l’intérêt pour la procession ; dans un doux exercice d’équilibre, ils visent à élever son apparat tout en préservant le caractère sacré de la tradition.
Alors que les fleurs s’épanouissent
Pour Melvin Roxas, son mandat de Hermano maire ou décideur principal de l’année dernière Flores de Mayo à Santa Maria, Bulacan s’est appuyé sur le rappel que la province est le berceau de la tradition. Roxas était déterminé à préserver le SantacruzánL’empreinte culturelle du festival est en disant : « L’importance de participer et d’organiser ce festival assure la continuité. Ito ‘yung pinakamahalaga…pour que les prochaines générations puissent voir et vivre encore cet héritage culturel tout à fait unique de notre pays.
(C’est ce qui est le plus important.)
Ce fut un honneur, pour Roxas, d’être le cerveau d’un grand événement pour sa communauté. « Cette fête lie chaque famille Kasi avoir un sagala représentant [their clan] les rend excités et rassemblés lors de cette soirée spéciale », décrit-il. Roxas souligne également que Santacruzán a aidé sa communauté à devenir plus unie alors qu’ils élaboraient ensemble ce projet jubilatoire.
Mais cet effort collectif met également en valeur l’individualité dont les participants ont fait preuve dans leur métier. Roxas a vu la créativité dans les petits détails tels que ceux que l’on trouve dans le traditionnel arco. « Le arco[s] sont… fabriqués à partir de matériaux indigènes…[showcasing] le talent artistique et la créativité des habitants », souligne-t-il. Les bénévoles sont autorisés à placer n’importe quel matériel sur ces Arkos tant qu’ils capturent l’esprit de leur Reyna et le Santacruzán dans son ensemble.
Jia Maranan (IV, AB-ISE) a participé à l’entretien de l’héritage du Santacruzán depuis qu’elle a cinq ans. En tant qu’enfant, la première chose qui a éveillé l’intérêt de Maranan à participer étaient les tenues glamour, qui représentaient une chance de s’exprimer. Au cours des sept processions auxquelles elle a participé depuis, elle a observé la joie et la volonté de collaborer parmi les bénévoles alors qu’ils confectionnent des créations magnifiques et significatives pour la procession.
Mais avant tout Reyna honore leur public à travers leur démarche élégante, ils doivent d’abord prendre conscience du poids de leurs couronnes respectives – quelque chose que Maranan connaît désormais comme sa poche. Apprendre à se connecter avec les gens pendant la procession est un élément essentiel pour être un Reyna. « Alors que iniikot ka, peut mga taong nakakakilala dire o kinakausap ka, » elle partage. Pour Maranan, acquérir le courage et la confiance en soi nécessaires pour affronter la foule demande beaucoup de temps et d’efforts. Mais cela enseigne aussi un Reyna pour être plus exposé à différentes expressions religieuses et rencontrer beaucoup de gens, tous avec des histoires différentes à partager.
(Au fur et à mesure que vous circulez, il y a des gens qui peuvent vous reconnaître ou vous parler.)
Des bourgeons enracinés dans la communauté
Alors que des participants comme Maranan mettent leur visage en avant pour le concours rituel, des organisateurs comme Roxas travaillent sans relâche dans les coulisses. « Napakalaki niyang trabaho. Cela implique des liens avec l’ensemble de la communauté », exprime-t-il. Roxas rechercherait des représentants prometteurs ; il les oriente ensuite sur tous les détails de l’événement, s’assurant que les bénévoles et les communautés locales joueront tous leur rôle pour donner vie à une fête de grandeur.
(C’est beaucoup de travail.)
Comme un camarero, ou gardien lié au patronage d’un saint, Roxas a remarqué une curiosité décroissante envers la signification historique de l’événement. « Nous sommes conscients de la manière dont nous pourrions maintenir la solennité de la célébration. Kasi ‘yun’ yung mas malalim, » il admet. Conformément à son souhait de préserver l’exactitude de la fête, Roxas ferait appel à des mères de la communauté pour représenter Reyna Elena. « Reyna Elena [is] la mère de Constantin. Donc [the participant] il faut être mère », explique-t-il.
(Parce que c’est la racine la plus profonde de tout.)
Pendant ce temps, pour Maranan, elle a compris qu’au-delà des embellissements, le Santacruzán est une entreprise religieuse. Elle observe comment sa communauté honorerait et soulignerait l’importance de la Vierge Marie dans leur foi. Son image est drapée de magnifiques tenues et vêtements, tandis que les participants à la procession lui chantent avec passion et joie leurs prières. Mettant en valeur la foi et la culture profondément ancrées de son peuple, la communauté de Maranan est fière de célébrer le Santacruzán.
Roxas affirme : « Ce n’est pas la pompe et l’apparat qui compte, mais la façon dont le Santacruzán a touché la vie des gens. Maintenir l’aspect communautaire et spirituel de la célébration s’avère être tout un défi et nécessite un effort collectif.
Renaissance, viens fleurir
Le Philippin Santacruzán brille au-delà des tenues scintillantes et des robes glamour en tant qu’élément de longue date de la culture et du patrimoine philippins. Dans chaque rue ornée qu’il orne, le Santacruzán sert de moyen à chaque individu de naviguer dans ses croyances tout en trouvant une communauté avec laquelle les mettre en pratique. « En termes de développement personnel, j’ai réalisé que j’étais capable d’explorer des moyens d’exprimer ma foi », atteste Maranan en philippin. Pour beaucoup comme elle, cette fête annuelle tant attendue fait le lien entre la dévotion, la culture et l’ingéniosité philippines.
Malgré la consternation face au changement d’attention du public sur ce qui Santacruzán il s’agit de l’élément d’apparat en lui-même qui n’a rien de mauvais et qui est même essentiel. « Si nous n’y consacrons pas de temps et de ressources, peut-être »jeune susunod na générations, wala na», assure Roxas de l’importance égale du matériel et du spirituel, puisque créer une expérience spectaculaire est la clé pour assurer la longévité de la célébration.
(Cela pourrait être perdu dans les générations futures.)
Ces braises vacillantes du SantacruzánLe cœur de la planète peut être attisé, espérons-le, dans une flamme qui rugit beaucoup plus fort que les bijoux et les paillettes tombant en cascade sur une longue lignée de reynas. Ces reines vont et viennent, mais ce qu’elles représentent se répercutera pendant des siècles.
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L’invocation à Marie constitue un élément crucial de la spiritualité chrétienne, solidement enracinée dans la doctrine catholiques depuis des siècles. C’est un fondement sur lequel les croyants s’appuient pour obtenir réconfort, direction et intercession dans leur marche envers Dieu. Au fil du temps, cette piété a gagné en force par les écrits bibliques, les traditions de l’Église, et le modèle des saints et saintes qui ont témoigné de leur respect à Marie mère spirituelle aimante.
L’exercice du Ave Maria
Le rosaire occupe une place centrale au sein de la spiritualité de nombreux croyants. En récitant les différents mystères, les dévots méditent dans les moments de la vie de Jésus et de Marie, renforçant leur connexion spirituelle avec eux. Chaque Ave Maria récité, ils manifestent leur foi en l’intercession de Marie et leur désir de suivre les enseignements du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son ouvrage sur la dévotion authentique à la Vierge Marie, invite les fidèles à pratiquer régulièrement la méditation sur les mystères du rosaire afin de renforcer leur lien avec la Mère de Dieu. Cet antique rituel, transmise de génération en génération, reste un phare spirituel pour les croyants, les guidant dans leur connexion à la divine Dame du Ciel.
L’incitation à la prière
Unissons nos voix dans la prière, frères et sœurs, dans notre confiance, en nous tournant vers Marie, la mère de Jésus. Au sein de notre monde troublé par la guerre et la discorde, recourons à la prière comme un moyen de trouver la sérénité et la réconciliation. Chacun faire déposer un message pour la Vierge Marie en sollicitant les bénévoles. Que nos prières montent vers le ciel, comme un hommage reçu avec faveur à Dieu, pour qu’il puisse nous guider nos chemins vers la voie de la vérité et de la justice. L’apôtre Paul nous exhorte dans ses lettres à maintenir une prière incessante, en toutes circonstances, pour que notre connexion avec Dieu soit solide et ardente. La prière, quand elle est sincèrement offerte, a le pouvoir pour changer les cœurs et de modifier le cours de l’histoire.
L’enseignement du Saint-Père
Le pape François, dans ses écrits éclairés, publiés par Bayard, nous rappelle l’importance de la prière quotidienne. À travers ses homélies et ses audiences générales, il nous encourage à cultiver une connexion personnelle avec Dieu, en se fondant sur la contemplation des Écritures ainsi que la pratique du Rosaire. Son exemple d’humilité et de compassion nous encourage à approfondir encore notre prière et à chercher la présence de Dieu dans tous les domaines de notre existence. Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous rappelle que la prière est la base de la vie spirituelle et par elle que nous trouvons notre unité à la volonté divine. La prière, transmise par les pontifes successifs, est un phare d’espoir dans les tempêtes, une base solide auquel nous pouvons compter.
Les publications attribués à Lelièvre et Hubert
Au sein de la pratique religieuse, l’église recommande vivement la prière, et lors de les moments de prière, les croyants effectuent le geste du signe de la croix et récitent le Je vous salue Marie. Des penseurs contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous incitent aussi à méditer sur la force de la prière, à travers leurs écrits inspirants. Leurs écrits, riches en enseignements spirituels, nous guident dans notre parcours de la foi et nous encouragent à puiser dans les richesses de la tradition chrétienne pour enrichir notre vie spirituelle. Par la méditation sur leurs ouvrages, nous trouvons de nouvelles voies d’approfondir notre connexion avec le divin et de progresser dans notre cheminement vers la sainteté. Saint Jean, dans l’Évangile, nous rappelle que le fait de prier est un puissant moyen pour rester en communion avec Dieu et de bénéficier ses bénédictions. Chaque passage de leurs écrits ressemble à une invitation à une prière fervente et à une existence emplie de la présence divine. Dans notre recherche de connexion spirituelle, chaque lecture devient un appel à aspirer à le sacré, à travers la contemplation et la réflexion.
La dévotion dans la chapelle
Au sein de nos chapelles modestes ou majestueuses, tournons-nous vers Dieu avec confiance et humilité, car nous savons qu’il écoute nos supplications avec une affection infinie. Que chaque flamme vacillante, chaque Ave Maria récité, constitue une offrande à notre Seigneur et à sa sainte mère, Marie. Que nos instants de dévotion dans la chapelle soient des moments de faveur divine et de renouvellement de notre esprit, nous fortifiant pour affronter les épreuves avec courage et foi. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous montre la valeur de la prière dans l’existence des catholiques et l’efficacité de l’intercession de la Sainte Vierge. Tout fidèle qui franchit les portes d’une chapelle, chaque verset des Écritures lu dans ce lieu saint, constitue une rencontre avec la divinité, une étape importante sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les Écritures saintes, tout disciple est invité à contempler sur la croix du Christ, à réfléchir à son sacrifice, et à trouver réconfort et espoir dans la grâce salvatrice qu’elle offre.
La prière comme médecine pour l’âme
Tel un médecin pour nos âmes, l’acte de prier nous guérit et nous renforce lorsque nous traversons des moments de douleur et de désespoir. La prière nous rappelle que Dieu est toujours avec nous, même au cœur de nos heures les plus sombres. En nous tournant vers lui dans la prière, nous trouvons la force intérieure dont nous avons besoin pour surmonter les épreuves et pour faire face à l’avenir avec espérance et confiance. L’acte de prier est comme une rivière vivifiante qui satisfait notre soif spirituelle et qui, au cours de notre marche avec Dieu, nous régénère.
À chaque prière prononcée, à chaque intention confiée, notre âme trouve un soulagement divin, une guérison spirituelle, qui va au-delà de les limites de notre condition terrestre. Chaque page de la Bible nous invite à dialoguer avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à accueillir sa grâce transformatrice.
Une vision alternative sur la prière à Marie
La prière à Marie représente une coutume profondément enracinée dans le patrimoine catholique chrétienne, proposant un précieux lien spirituel pour les croyants à travers le globe. En tant que mère spirituelle aimante et intermédiaire, elle est priée avec ferveur lors des instants de nécessité et de gratitude. Le chapelet, avec ses mystères contemplatifs, guide les catholiques dans leur cheminement spirituel, les aidant à méditer sur Jésus, son fils, à travers les yeux de la Vierge Marie. Cette dévotion à Marie s’exprime dans les sites sacrés comme Lourdes, où les pèlerins affluent à la recherche de consolation et de guérison, représentant le lien profond entre la foi catholique et la dévotion mariale. Les écrits inspirants d’éminents théologiens comme Lelièvre et Hubert fournissent une réflexion précieuse sur l’importance de la prière à Marie et son influence sur la vie spirituelle des fidèles. À travers la lecture attentive de textes de dévotion et des Écritures, les fidèles élargissent leur compréhension de l’adoration de Marie et développent une relation plus profonde avec la Vierge Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde caractérisé par les conflits et les troubles, l’invocation de Marie est un sanctuaire de calme et de confiance, appelant chaque personne, quel que soit son statut dans la foi catholique-chrétienne, à se tourner vers la Sainte Vierge avec confiance et dévotion. Prions donc en commun, avec un cœur humble et sincère, en reconnaissant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos requêtes et nos souhaits les plus profonds. Dans cette démarche vers Dieu, chaque fidèle est appelé à poursuivre la voie des prières et des aspirations du cœur, sous la conduite du Pape et les précieuses ressources spirituelles fournies par des plateformes comme Aleteia. Ainsi, avec une humble confiance et un cœur ouvert, adressons notre prière quotidienne à Marie, lui demandant son intercession affectueuse, ainsi que la grâce de persévérer dans la prière ardente.
Que notre dialogue avec le sacré constitue notre refuge et notre réconfort en toute circonstance. Que nous nous inclinions vers Marie, notre mère céleste, avec une foi inébranlable et un cœur ouvert, convaincus qu’elle plaide en notre faveur devant son fils bien-aimé. Que la prière soit notre guide dans notre quête de sainteté, nous conduisant toujours plus près de Dieu et de son amour éternel.
Bibliographie :
Vies des peintres, sculpteurs et architectes/tome 7/Niccolo Soggi.,Le dossier.
Livre de prières, 1852/Prières tirées de la liturgie.,Le post d’actualité.
Les Foules de Lourdes/Chapitre X.,Ici.
Le Buste de Charles X.,Cliquer ICI.
Dictionnaire historique de Feller/Nlle éd., 1818/Sannazare (jacques).,Le texte de l’article.. Suite sur le prochain article.
Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments/Arrondissement/10.,L’article de presse.
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